Archive pour décembre 2006

Capture d’écran

Vendredi 15 décembre 2006

bonjour,

Comme d’habitude, nous approcherons, ici et en détail, comment faire une copie (capture) d’écran en mode terminal.

J’ai cherché un certain temps quelle était la commande correspondant à la rubrique du menu :
Applications / Accessoires / Prendre une capture d’écran.

la solution connue , je vous propose de la partager, mais vous vous direz peut être :

Vous :
Mais à quoi ça peut bien servir de savoir le faire en mode terminal ? ”

Moi :Essayez donc de prendre une capture d’écran quand vous voulez montrer le chemin que vous prenez dans un menu !”…. eh oui, Les menus se referment quand vous les quittez…!

Alors, il est donc utile de donner un temps AVANT que la “photo” ne soit prise, histoire que vous ayez le temps nécessaire pour aller à ce que vous voulez montrer ( exemple => photo au haut de cette article ).

A votre tour….
Je vous invite à effectuer plusieurs essais de “delay” afin de réaliser l’opération que vous voulez saisir et fixer !
Pour réaliser ceci, ouvrez un terminal de commande et tapez la ligne suivante :

gnome-screenshot –delay=9

Selon votre rapidité et / ou la complexité du menu dans lequel vous voulez vous rendre, modifiez le “9″
Si vous êtes Lucky Luke réduisez ce nombre,
si comme moi, on vous appelle l’escargot ….augmentez le. Faites des essais.

dés que vous avez lancé la commande, réduisez la fenêtre “terminal” , ceci la masquera sur votre photo !

retour rapide à votre menu.Et voila, le tour est joué !.

Amusez vous bien.
Pascal.

Précisions sur les liens

Vendredi 15 décembre 2006

Précisions concernant les liens physiques :

Lors du formatage d’un disque, une table des inodes est créée pour chaque disque et/ ou partition.
Les liens physiques sont, sous linux, les adresses où sont situés les fichiers et répertoires sur le système de fichiers :
La meilleure méthode pour constater ceci est de taper cette simple commande dans un terminal :

df -ih

pascal@pascal-laptop:~/test$ df -ih
Sys. de fich. Inodes IUtil. ILib. %IUti. Monté sur
/dev/hda1 4,6M 119K 4,5M 3% /

Grâce à cette commande, nous pouvons voir les inodes ou point de montage de chaque fichier ce qui permet à linux de retrouver n’importe quel fichier en le recherchant parmi une liste de répertoires en commençant par la racine /
Pour résumer, chaque inode correspond à un point de montage d’un fichier / répertoire sur le système de fichiers.
Chaque élément possède une adresse et le facteur “Linux” sait où mettre le courrier!

Ça crée des liens

Vendredi 15 décembre 2006

Bonjour,
Aujourd’hui, nous allons partir d’une constatation pour décortiquer ce qu’il se passe et apprendre à le faire soi-même.
Autant comprendre ce qu’il se passe et pourquoi ça se passe ainsi :

Vous qui disposez d’une Edgy Eft installée, je vous demande de regarder dans votre répertoire personnel par votre interface graphique.
Vous devez y voir un répertoire “Examples” et celui-ce doit comporter un cadenas ainsi qu’une flèche qui nous renvoie ailleurs….!
Pour le cadenas, c’est facile, vous ne pouvez pas modifier ce répertoire.
Pour la petite flèche, elle nous indique ( et c’est moins facile à comprendre ) que ce fichier vous montre à son tour, le contenu d’un autre répertoire.
Pour voir en réalité quel répertoire il s’agit , faites un click droit / propriétés sur Examples et vous verrez dans l’onglet “général”, une ligne où est écrite “Cible du lien:
/usr/share/example-content”.

Je vous invite même à aller voir de vos propres yeux ce qu’il y a dans ce répertoire. Vous constaterez que les contenus sont bien identiques.

Et maintenant faites vous même un lien symbolique d’un fichier vers un autre.
Sous linux tout est fichier. Même une partition est un fichier. Si vous avez une “partoche” FAT32 distincte sur votre disque dur, elle n’est qu’un fichier contenant tout ce que vous lui mettez dedans.
Ceci dit, nous allons créer notre répertoire test où nous placerons des copies de photos ou images diverses qui ne risquent rien pour ce test : faites des copies de vos images :
copier / coller fera très bien l’affaire.
Créons à present, dans /home, un répertoire toto avec click droit / créer un document vierge….Il sera notre lien symbolique
toto sera notre lien et test contiendra nos vraies copies de fichiers :

Passons en mode terminal , je parie que ça vous manquait !
nous allons dans home avec la commande :
cd /home/Monlogin

Comme nous sommes curieux ,allons voir si nous trouvons nos 2 fichiers avec la commande ls
nous devons voir “test” et “”toto”
Maintenant, créons ce fameux lien symbolique sur toto pour voir le contenu de test :

ln -s /home/Monlogin/test/ /home/Monlogin//Monlogin/toto

Et voila nous l’avons fait…Yes!
C’était simple mais encore fallait il le savoir.
En premier c’est toujours la source et en second la destination,
Ce qu’on veut voir d’abord et où on veut le voir!

Si vous supprimer le test où se trouve le lien, ( ici test ) vous supprimez le lien en même temps.
Si vous tapez ls dans votre /home/MonLogin/ les liens sont indiqués dans une autre couleur que les autres fichiers / répertoires.

Amusez vous bien!

P@sc@l

ATTENTION, LA SUPPRESSION D’UN LIEN DANS TOTO SUPPRIMERA LE FICHIER REEL DANS LE RÉPERTOIRE TEST,C’EST POURQUOI, JE RECOMMANDE TOUJOURS DE TRAVAILLER SUR DES COPIES

Synaptic en ligne de commande

Vendredi 15 décembre 2006

bonjour cher(e)s lect(rices)eurs,

Aujourd’hui, je vous propose de vous détendre un peu et d’essayer de comprendre l’intérêt possible d’utiliser la ligne de commande plutôt que l’interface synaptic permettant d’installer, désinstaller, mettre à jour vos paquets sous Ubuntu!

Il m’est arrivé une fois de me trouver sans interface graphique suite à une mise à jour concernant le fichier xorg qui pilote l’affichage graphique de notre interface préfèrée.
Ce jour là, j’ai eu la bonne idée, oui, oui, ça m’arrive parfois, de me connecter au terminal grâce à ctrl + F1.
Dans ce cas précis, je n’ai eu qu’à taper deux commandes pour lancer la mise à jour du paquet défectueux :
sudo apt-get update Mettre à jour les paquets
sudo apt-get upgrade Mettre à jour la liste des nouveaux paquets disponibles sur un dépôt.
Alors qu’une commande frappée au clavier demande peu de ressources, l’interface graphique est, dans bien des cas gourmande en mémoire.
Nous savons depuis déja quelques temps que nos paquets / programmes installables sont définis dans notre fichier sources.list que l’on trouve à l’adresse /etc/apt
Nous comprenons mieux aujourd’hui pourquoi les commandes liées à ce fichier commencent toutes par sudo apt-get :
******************************
Pour installer un programme :
sudo apt-get install (nom du prog )
******************************
Pour désinstaller simplement un fichier :
sudo apt-get remove prog
******************************
Pour désinstaller un programme et ses fichiers de configuration :
sudo apt-get remove prog –purge
******************************
Vérifier les mises à jour des programmes installés :
sudo apt-get update
******************************
Vérifier les évolutions au niveau des paquets contenus dans les dépôts :
sudo apt-get upgrade
******************************
Mettre à jour la version de la distribution ( Ubuntu = 2 fois par an) :
sudo apt-get dist-upgrade

Et voila, nous avons fait le tour, me semble-t-il!

Pour des remarques éventuelles utilisez les commentaires.

Merci et à très bientôt pour de nouvelles aventures.

Pascal

Boîte à outils

Vendredi 15 décembre 2006

bonjour,

Habitant non loin de la Suisse, je vais aujourd’hui aborder un sujet qui leur est cher, car c’est un ustensile connu partout dans le monde, me semble-t-il :

Le couteau suisse!

Bonjour à nos amis helvétiques.
Comme vous le savez, il comporte plusieurs lames ou outils :
Voyons en quelques-uns, en ligne de commande bien sûr, ça peut servir.

Connaître ses périphériques PCI, à savoir les cartes enfichées sur votre carte mère, pour cela ouvrez un terminal et tapez la commande :
lspci

Pour les périphériques USB :
lsusb

Pour le processeur :
cat /proc/cpuinfo

Quelle est l’activité, en ce moment même, sur votre processeur :
top
ctrl +z pour en sortir

Une commande, qui requiert d’être le superutilisateur (root), vous permet de visualiser en une seule fois tous ces résultats :
lshw
Une manière très sympathique d’afficher les résultats est de taper les 3 commandes suivantes :
sudo lshw
et
sudo lshw -html > infos.html
puis
firefox infos.html

L’état de votre mémoire, ….et oui, on prend de l’âge,
mais avec cette commande ça va un peu mieux :

free -m pour la mémoire en Mo
free -t pour la mémoire standard, cache et swap

Bon bricolage

Pascal

Autorisations et droits d’accès

Vendredi 15 décembre 2006

bonjour et nous revoici pour quelques lignes d’apprentissage,

Voyons comment modifier les droits ou autorisation d’accès à un fichier, c’est à dire la lecture, l’écriture, et l’exécution en fonction des personnes auxquelles elles s’adressent.
Les différents types d’accès que nous pouvons rencontrer sont les suivants :

r ==> lecture, on pourra visualiser le contenu mais pas le modifier ni l’exécuter,
w ==>écriture du / dans le fichier, le fichier pourra être modifié mais pas lu ( écriture seule =pas d’intérêt),
x ==>éxécution du fichier,
X ==> idem que x mais pour un répertoire ou s’il l’autorisation existe déja pour un autre utilisateur, (renfort de l’autorisation).
Les différentes personnes auxquelles s’adressent les droits peuvent être :
u = le propriétaire du fichier,
g = le groupe auquel appartient le fichier,
o = les autres utilisateurs extérieurs au groupe,

si vous allez dans votre interface affichant les propriétés d’un fichier ,
exemple vous avez créé un fichier vierge click droit créer un document, fichier vierge; nous appellerons ce fichier tyty. Ou encore en ligne de commande :

touch tyty

puis sur ce fichier, click droit, propriétés, permissions, vous remarquez que seul le propriétaire possède un droits d’accès de lecture et écriture du fichier en question.

pascal@pascal-laptop:~/test$ ls -l
total 0
-rw——- 1 pascal pascal 0 2006-11-28 08:03 tyty
pascal@pascal-laptop:~/test$

Alors vous pouvez toujours modifier les droits par cette interface graphique,
ou le faire en ligne de commandes :
Si vous voulez que ce fichier soit modifiable et lisible par tout individu de votre groupe sur votre poste, vous devrez donc dire que les droits devront passer à xw pour u, g et o (le propriétaire, le groupe mais pas les autres utilisateurs).
la commande devra donc être la suivante :

chmod u=xrw,g=rw tyty
Pat la commande
ls -l
nous obtenons alors le résultat
-xrwrw—- 1 pascal pascal 0 2006-11-28 09:33 tyty

Vous voulez, suite à des manipulations douteuses sur vos fichiers retirer les droits au groupe et ne lui laisser qu’un droit de lecture alors, c’est très simple :
chmod g=r tyty
pour le résultat suivant

-xrwr—– 1 pascal pascal 0 2006-11-28 09:33 tyty

vous pouvez à tout moment vérifier l’état d’accès à votre fichier par la commande :

ls -l
Je tiens à remercier les personnes osant poster des commentaires, ceci nous permet de faire évoluer la connaissance de tous! C’est ça, l’esprit Ubuntu…..
Attention :Laissez toujours les droits xrw à l’utilisateur du fichier sinon il ne pourra plus le lire/modifier alors que c’est SON fichier.

Entraînez vous et nous nous retrouvons demain ou après-demain pour des outils très sympathiques, chuuuuutt……..

Bonnes lignes de commandes.
Pascal

Création de groupes d’utilisateurs

Vendredi 15 décembre 2006

Bonjour à tou(te)s,
Nous allons aujourd’hui voir comment créer des groupes d’utilisateurs,
imaginons qu’un groupe d’amis se retrouvent régulièrement pour travailler sur un poste :
Nous commençons par créer chaque utilisateur en mode graphique par Système / Administration / Utilisateurs et groupes
Ou alors en ligne de commandes en tapant dans notre exemple :
sudo adduser jeanmi
sudo adduser momo7
sudo adduser dina
sudo adduser pascal

Nous voici donc avec 4 utilisateurs que nous souhaitons mettre dans un seul groupe appellé “ubunteros”
Créons notre groupe en mode graphique en choississant la création d’un groupe nommé ubunteros
Ou alors en ligne de commandes en tapant ici :
sudo groupadd ubunteros
en tapant la commande :
cat /etc/group
Nous remarquons que nous y trouvons nos utilisateurs ainsi que le groupe créé ainsi que l’Id pour chacun d’eux.
cat /etc/passwd
Avec la commande suivante nous affectons nos 4 linuxiens au groupe “ubunteros” :
sudo chgrp ubunteros jeanmi momo7 dina pascal

Il nous suffit de taper la commande :

ls -l /home

pour constater que nos 4 comparses sont bel et bien rattachés au groupe choisi !
Par ailleurs, nous avons aussi des informations relatives aux autorisations d’accès de chaque utilisateur avec dans l’ordre en partant de la gauche :
droits d’accès pour l’utilisateur lui-même,
droits d’accès pour le groupe “ubunteros”,
droits d’accès pour les autres
Seul chaque utilisateur aura la possibilité de modifier ses fichiers ,
le groupe et les autres utilisateurs hors groupes éventuels pourront voir les fichiers mais pas les modifier.

Si j’insiste sur les lignes de commandes, ce n’est que dans un but pédagogique , ainsi le jour où l’interface graphique est Hors Service, nous pourrons aisement nous en sortir .
Bon apprentissage,
Nous verrons plus tard les modifications des droits d’accès et les liens symboliques et réels.
laissons un peu de temps à nos neurones le temps de digèrer tout ça!

@micalement
Pascal.

Résolution d’écran

Vendredi 15 décembre 2006

La question que certains se sont déja posé est la suivante :
“J’ai changé ma carte vidéo, elle est bien reconnue mais je ne parviens pas à afficher en 1280 X 1024.
Le maximum que je puisse choisir est 1024 X 768. Comment corriger cet état de fait?”
Ces utilisateurs se rendant dans le menu Système / Préférences / Résolution d’écran cette définition souhaitée n’y figure pas.
Nous partons du postulat que la carte et l’écran permettent une telle résolution.
Ceci étant posé, voici la solution que nous vous proposons :
Le fichier de configuration de votre affichage vidéo se trouve à l’adresse suivante : /etc/X11
nous allons commencer par faire une sauvegarde de votre fichier de configuration vidéo avant de le modifier :

sudo cp /etc/X11/xorg.conf /etc/X11/xorg.conf.copie

modifions le maintenant :
essayons tout d’abord cette méthode simple :
dans un terminal tapez :
sudo dpkg-reconfigure xserver-xorg
Répondez aux différentes questions,
Attention, avec les cartes NVidia, utilisez le module NVidia et pas le module nv!.

Merci à Jo pour cette précision.

Si vous ne parvenez pas au résultat souhaité, voici la version longue :

sudo gedit /etc/X11/xorg.conf

Rechercher la section screen, sélectionnez les lignes SubSection Display jusqu’à EndSubSection et copiez ces lignes,
Devant SubSection Display sautez juste une ligne et collez votre sélection copiée, dans ce que vous venez de coller, remplacez les définition d’écran définies par “1280 X 1024″ à toutes les lignes, , c’est ce que nous souhaitons,

ceci étant fait, enregistrez votre xorg.conf, fermez Gedit

redémarrer votre poste, en tapant dans le terminal de commandes :
sudo reboot

*********************************************
En cas de plantage de votre affichage graphique après modification, vous pourrez sans souci récupèrer votre ancienne configuration avec les commandes suivantes :
Pressez les touches Ctrl Alt F1 (en même temps),
au login tapez votre identifiant,
Puis votre mot de passe,
Au $, ça ne veut pas dire que vous avez gagné à la loterie américaine mais que vous pouvez entrez la commande suivante :

sudo cp /etc/X11/xorg.copie /etc/X11/xorg.conf.

puis sudo reboot

ça doit fonctionner de nouveau, …sinon, c’est que vous avez suivi incorrectement ce tuto testé hier soir par Jean-Mi et moi-même!

Bonne journée.
Pascal

Création d’utilisateurs

Vendredi 15 décembre 2006

Bonjour et bon week end à tous,

Aujourd’hui, je souhaite attirer votre attention sur la gestion des utilisateurs et TRÈS FORTEMENT sur une ‘’boulette'’ à ne pas commettre.

Quand vous avez installé votre nouveau et génial système, vous avez dû à un moment donner un nom d’utilisateur et un mot de passe. Ces informations vous sont utiles en quasi permanence.
Si vous voulez lancer le gestionnaire de paquets synaptic qui pilote toutes vos mises à jour de programmes, vous avez dû remarquer qu’un mot de passe vous est demandé, et bien, c’est celui que vous avez entré lors de l’installation (à moins que vous ne l’ayez changé depuis).
Si vous avez tapé une commande commençant par “sudo” en mode terminal, c’est ce mot de passe que vous avez entré. Plus simplement au démarrage, lorsqu’Ubuntu vous demande votre identifiant et mot de passe, Ces informations sont celles qui ont été indiquées à l’installation. S’il n’y a qu’un utilisateur sur l’ordinateur en question.

Ces identifiants / mots de passe (de départ) ne doivent JAMAIS être supprimés, il faudrait réinstaller Ubuntu. J’en sais quelque chose, ça m’est arrivé! C’est en faisant qu’on apprend.N’est ce pas ?

Mais vous utilisez un système qui n’est pas du tout egoïste , il permet la création de nouveaux utilisateurs avec , pour chacun, ses propres fichiers, son propre bureau et son fond d’écran personnel, chacun son truc, quoi!

Les comptes utilisateurs supplémentaires pourront quant à eux être supprimés,

C’est comme une table dressée, vous ne supprimez pas la table, cependant, il peut y avoir plus ou moins de convives
Pour ajouter un utilisateur, votre conjoint(e) par exemple :

Système / Administration / Utilisateurs et groupe

Ubuntu vous propose une interface “réglages des utilisateurs” où vous pourrez ajouter les utilisateurs que vous souhaitez , chaque enfant peut disposer de son propre espace
…et vous parent , en tant que SuperUtilisateur, vous restéz le garant du contenu de l’espace de chaque enfant,

Pour effectuer la même chose mais en ligne de commande (histoire d’apprendre).

Ouvrez un terminal,
tapez la commande suivante :
sudo adduser [NomUtilisateur]
ensite des questions vous sont posées afin de configurer le nouvel arrivant qui s’appelle dans l’exemple “popo” (vous remplacerez popo par l’identifiant de votre choix, ex sudo adduser pierrot):
Password:
Ajout de l’utilisateur « popo »…
Ajout du nouveau groupe « popo » (1002).
Ajout du nouvel utilisateur « popo » (1002) avec le groupe « popo ».
Création du répertoire personnel « /home/popo ».
Copie des fichiers depuis « /etc/skel »
Enter new UNIX password:
Retype new UNIX password:
passwd : le mot de passe a été mis à jour avec succès
Modification des informations relatives à l’utilisateur popo
Entrez la nouvelle valeur ou « Entrée » pour conserver la valeur proposée
Nom complet []:
No de bureau []:
Téléphone professionnel []:
Téléphone personnel []:
Autre []:
Ces informations sont-elles correctes [o/N] ? o

Vous pouvez maintenant aller dans votre répertoire personnel et vous constaterez qu’un répertoire correspondant à l’utilisateur créé a été généré (BRAVO)
Au démarrage d’Ubuntu, vous pouvez dorénavant vous connecter avec cet identifiant et le mot de passe.

Bonne config.

Pascal

Changer d’espace de travail?

Vendredi 15 décembre 2006

Bonjour,
Voyons aujourd’hui comment passer d’un espace de travail à un autre en utilisant un raccourci clavier, ce qui est bien pratique lorsqu’on fait tourner plusieurs applications sur des bureaux différents.
Vous verrez par la même occasion les différents raccourcis clavier déja configurés sur votre poste.
En prime, vous ne risquez pas de casser quelque chose, merveilleux, non?
Pour configurer ceci, procédons ainsi :
Système / Préférences / Raccourcis clavier / Rubrique “Gestion des fenêtres
Passer à l’espace de travail 1, 2, 3, 4, etc…..
Par défaut vous devez voir “Désactivé” dans la colonne “Raccourci clavier”
Cliquez sur la ligne (click bouton gauche)et tapez votre choix pour passer sur l’espace de travail N° 1, N° 2, etc…
Une fois votre choix terminé, vous pourrez cliquer sur “fermer” et tester votre combinaison de touches.
N.B : Il est à remarquer qu’un message d’information s’affichera si votre combinaisons de touches choisies est déja utilisée.
Il existe une configuration pour emmener une application d’un espace vers un autre.

Bonne configuration.

Pascal